Une fois de plus le magazine Entertainment Weekly a la primeur des révélations sur le film Les Animaux Fantastiques.

Ici, cela concerne 6 des créatures du film et il nous révèle ce qui n’apparait pas dans notre manuel scolaire Vie Habitats des Animaux Fantastiques de Norbert Dragonneau ! Vous pouvez toujours consulter notre dossier complet sur ces créatures (pour d’autres infos) et les autres vues dans les bande-annonces, en vous rendant à cette adresse.

Attention au(x) éventuel(s) spolier(s)

Le Niffleur :

MAJ : Comment Faire Un Niffleur : Christian Manz et Tim Burke nous explique comment ils ont amené la vision de J.K. Rowling à la vie :

By Entertainment Weekly's Courtesy
By Entertainment Weekly’s Courtesy
  1. Le Seigneur des Hordes d’Or : J.K. Rowling le décrit comme une créature au museau allongé, aux pattes avant plates comme des pelles, à la fourrure noire et bouffante et avec une “attirance féroce (et destructrice) pour tout ce qui brille”. Les concepteurs n’ont pas gardé son côté mignon (ND’UHP : ils plaisantent ?! ^^) mais ont conservé tout le reste. “Une de nos grande sources d’inspiration, c’est le blaireau à miel/ratel, nous avons vu une vidéo où il pénètre dans une maison par effraction à la recherche de nourriture et… rien ne l’arrête !”.
  2. Un Ventre à Or :  Dans les premiers concept-arts, le Niffleur avait l’apparence d’un cochon, mais les concepteurs voulaient qu’il est plus celle d’une taupe et d’un ornithorynque. Ils ont ensuite ajouté une poche dans son ventre où il peut y stocker plus qu’il n’y parait. “C’est comme le Sac en Perles de Hermione [cette poche] lui permet de conserver une énorme quantité de pièces de monnaie et de bijoux en or (voire des lingots) !”
  3. Un Rendu Réel : La version finale ressemble plus à un véritable animal d’un documentaire animalier qu’à une créature exotique créée de toutes pièces – c’était un de nos objectifs premiers de rendre l’ensemble des créatures de Newt plausibles et réelles : “Tel un moldu, si vous en veniez à le rencontrer dans la nature, vous vous diriez juste ‘Oh, mais on dirait un ornithorynque !'”, affirme Tim Burke.

Le Botruc :

Quant bien même cette créature “fait d’un mélange d’écorce et de brindilles soit difficile à repérer dans son environnement naturel”, on apprend que cela n’empêche pas “Newt dans posséder quatre spécimens”. Qu’en plus d’être une créature “douce, intensément timide et extrêmement fidèle”, un Botruc vous “sera très utile si il y a des serrures à crocheter”… Ce fut la créature la plus difficile à concevoir pour l’équipe des Effets Visuels puisqu’elle aura nécessité “plus de 200 concept-arts avant qu’ils ne se décident du rendu final” ! Eddie Redmayne ajoute que “c’est sa créature préférée” et que dans la mesure où “Picket (ND’UHP : c’est comme cela qu’il s’appelle) présente des troubles de l’affection, et donc qu’il sait que Newt ne devrait pas s’y attacher, [Newt] aime que celui-ci se tienne assis dans sa poche”… c’est pourquoi, il a de la compassion pour lui. ND’UHP : Nous partageons son sentiment !

L’Oiseau-Tonnerre :

“Grande et majestueuse créature volante originaire du climat aride de l’Arizona”, l’Oiseau-Tonnerre a une “tête assez similaire à un aigle ou, dans le monde magique, à un Hippogriffe” et “ses ailes multiples aux plumes chatoyantes qui varient aux reflets des nuages et du soleil” peuvent déclencher “des tempêtes en un battement”. L’Oiseau-Tonnerre du film fut appelé Franck par Newt “après [qu’il l’ait] sauvé des mains de trafiquants en Égypte [et] il lui a promis de le ramener dans son habitat naturel en Arizona”. ND’UHP : On espère qu’il y parviendra !

Le Démonzémerveille :

L’article le présente comme “un croisement entre un reptile et un papillon extrêmement grand […] qui vit dans un cocon vert recouvert d’épines” Il présente une “beauté étrange lorsqu’il déploie ses ailes colorées et hérissées de pointes”. C’est une créature qui “peut être dangereuse, puisque [le Démonzémerveille] est capable d’aspirer les cerveaux, mais, à l’inverse, correctement dilué, son poison peut être utile pour effacer les mauvais souvenirs”. ND’UHP : Et bien, comment dire, on va faire attention de ne pas s’y frotter, alors ^^

La Demiguise :
D’après l’article, la Demiguise est “une créature primate qui ressemble à un orang-outan aux grands yeux noirs mélancoliques”. En plus d’avoir la “remarquable capacité à devenir invisible à volonté”, il possède une “vision prémonitoire, donc la seule façon de pouvoir le capturer c’est de le faire de manière complètement imprévisible.” Bien que la Demiguise soit une créature “foncièrement pacifique, elle sera capable de pincer très désagréablement si elle se sent menacer ou si on la provoque”. ND’UHP : On leur souhaite donc bien du courage pour le remettre dans la valise, alors !

MAJ : On apprend au détours d’une interview que le Non-Mag Jacob Kowalski apprécie beaucoup la Demiguise et qu’une relation particulière se serait nouée entre eux.

L’Occamy :

Resté dans l’ombre jusqu’à présent, l’Occamy est présenté comme “une des créatures-clés” du film. Il est dépeint comme “[…] semblable à un croisement entre un dragon et un oiseau”. Originaire d’Extrême-Orient et d’Inde, “la taille de son habitat est d’une grande importance, puisque l’Occamy est choranaptixique : ce qui veut dire qu’il grandira ou rétrécira en fonction de son environnement.” ND’UHP : Imaginez donc une telle créature libérée dans New-York ! Sachez que le terme “choranaptixique” est formé de deux termes grecs :  de “Khora”, signifiant intervalle et “Anaptyxe” qui signifie ouverture.

Merci EW !